Bon.
Alors si j'ai bien tout compris, les projos de presse de Tron l'héritage ont eut lieu ce hier matin et tout le monde à trouvé ca mortel. Cool. Malheureusement je n'étais pas sur la liste (pour tout dire, le film sortant ici en février, je croyais que ca allait être plus tard), mais en fait je m'en fout (un peu, pas beaucoup).
Déjà, je n'étais pas très frais suite aux deux jours et demi de TGS que j'avais dans les pattes (c'était génial mais fatiguant. mais génial).
Ensuite, je le verrais dans deux semaines durant mes vacances, et alors que toute la presse est sans doute tenue à l'ahbituel embargo made in Disney, je ne me priverais pas pour en parler ici (bien que vous l'avez déjà compris, Tron, c'est le bien).
Enfin, j'ai reçu mon lot de consolation par la poste : le artbook du film, intitulé The art of Tron Legacy. C'est d'ailleurs sans doute la raison pour laquelle vous lisez ces quelques lignes. Donc trêve de blabla.
Premier constat, le bouquin est massif, tant par sa taille que par son poids. J'avoue que je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi imposant. Bon n'allez pas non plus imaginer que ca a la taille d'un dictionnaire, mais l'ouvrage est en tous cas assez épais et assez gros pour qu'Amazon.co.uk me l'ai envoyé dans un carton capable de contenir un PC portable de 17". C'est sans doute pour cela qu'il est arrivé un peu abimé : une encoche sur la couverture, tandis que le froid et le transport ont légèrement gondolé quelques pages. Rien de vraiment grave (surtout pour les 24£ que j'ai payé), mais si vous êtes maniaques et que le prix n'est pas un soucis pour vous, choppez le en magasin.
Second constat : le papier est luxueux, brillant et donc marque très facilement -la majorité des pages sont noires, ca n'aide pas du tout-. Donc ne le prêtez pas à votre petite frère s'il vient de manger sa tartine de Nutella. Mais ca aide à en faire un livre que l'on prend plaisir à lire, ou tout simplement à parcourir. (je conseille pour ce faire de retirer la couverture, assez fragile).
Pour ce qui est de la structure, le bouquin est composé de deux parties.
Après un préambule visuel qui guide le lecteur dans l'univers visuel de Tron (quelques photos pleine page de l'ancien film et -surtout- du nouveau), la première partie, assez courte, revient après un mot d'introduction, sur les origines du film : l'idée d'une suite, son trailer au Comic Con de San Diego, les designs, l'accueil réservé par le public et quelques rares infos sur le tournage. une petite dizaine de pages bien illustrées afin de se mettre dans le bain et de savoir de quoi on parle. C'est toujours pratique.
Puis arrive le gros morceau à la page 27 : la partie consacrée au designs du film.
Au lieu de diviser cette partie en thèmes (véhicukles, décors, personnages..), l'éditeur a choisi, comme souvent chez Disney, de proposer une évolution chronologique. On commence donc par le monde réel avec la maison de la famille Flynn, puis la salle d'arcade avant que Sam (le héros joué par Garrett Hedlund) ne se retrouve dans le monde informatique (The Grid) comme son père avant lui.
Une attention toute particulière a été apportée à la présentation des décors et des designs de véhicules. L'arrivée de Sam dans ce monde parallèle est ainsi abondamment illustrée par de nombreux concept arts et images de story board, sans pour autant sacrifier à l'élégance de l'ensemble.
Je regrette pour le coup que les personnage n'ai pas le même traitement car si les véhicules sont décris sous toutes les coutures (les origines du licht cycle et des rods, l'évolution du design), les protagonistes n'ont pour eux rarement plus qu'une double page et pas plus de trois ou quatre photos/illustrations. Dommage, j'aurais vraiment voulu que les fonctionnalités des costumes et l'évolution de leurs design soit abordé en profondeur. Comble de l'histoire : pas un mot sur le design des disques identitaires. Dommage.
Sorti de cela, il me parait tout de même impensable de passer à côté d'un tel objet s'(il un est un tant soit peu fan du film ou de design en général. Je passerais sans doute de longues heures à me perdre dans les concepts art de décors, ou à étudier les lignes simples mais élégantes des véhicules, qu'il s'agisse de motos, de chars, de vaisseaux ou d'unité de transport mobiles autonomes. Je suis d'ailleurs particulièrement impressionné par le travail qui a été effectué sur le re-designs des dits-véhicules que l'on trouvait dans le premier film de 1982.
Bref, un achat sûr, à faire les yeux fermés !
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